Et le vent ?

Ensemble vidéo

Les Sables d'Olonne, Paris, 2019

 

Ensemble de vidéos réalisé pour les sorties des EPs “Périodes Aléatoires”, “Que des gens de passages” et deux autres à venir.

 

Quitter un monde onirique pour rejoindre un monde concret, un ancrage dans le réel où le texte devient médium avec tout ce qui fait l’identité de Jumo : une certaine poésie surréaliste. Jumo était un dessin, c’est désormais un mot. Il est malléable et s’adapte à toutes les péripéties qui correspondent aux propres étapes de son travail.

 

Le texte, élément principal de ce nouveau projet, provient de «mémoires» : pensées, narrations, écrites au fur et à mesure du temps dans un carnet sans but précis, si ce n’est l’immortalisation d’états et d’images. Ces textes se sont vus repris, sélectionnés, réagencés. L’écrit est fragmenté en vue d’être recomposé. La narration se perd, le sens premier est brouillé. Cependant, chaque personne est à même d’y piocher des bribes et d’y créer un sens. Le texte devient écran, chacun est libre de s’y projeter. Il est ensuite mis en situation dans différents contextes. Il titre ou il sous-titre, il appose un sens nouveau à des scènes qui peuvent en être dépourvues. Le jour ou la nuit, dans l’espace public ou privé, avec ou sans personne. Dans l’intimité d’une scène entre amis ou dans un lieu de rencontre entre inconnus. La vidéoprojection est utilisée, dans la continuité du travail plastique de Jumo. La dimension lyrique est conservée, seuls les médiums différent. Aujourd’hui Jumo va devoir s’exprimer non plus au travers d’images, mais de mots et de pensées.

 

Réalisation : Clément Leveau, Nicolas Plessis, Elliot Jolivet,

Luce Terrasson

Textes : Clément Leveau

Animation : Luce Terrasson

 

 

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Et le vent ?

Ensemble vidéo

Les Sables d'Olonne, Paris, 2019

 

 

 

Ensemble de vidéos réalisé pour les sorties des EPs “Périodes Aléatoires”, “Que des gens de passages” et deux autres à venir.

 

Quitter un monde onirique pour rejoindre un monde concret, un ancrage dans le réel où le texte devient médium avec tout ce qui fait l’identité de Jumo : une certaine poésie surréaliste. Jumo était un dessin, c’est désormais un mot. Il est malléable et s’adapte à toutes les péripéties qui correspondent aux propres étapes de son travail.

 

Le texte, élément principal de ce nouveau projet, provient de « mémoires » : pensées, narrations, écrites au fur et à mesure du temps dans un carnet sans but précis, si ce n’est l’immortalisation d’états et d’images. Ces textes se sont vus repris, sélectionnés, réagencés. L’écrit est fragmenté en vue d’être recomposé. La narration se perd, le sens premier est brouillé. Cependant, chaque personne est à même d’y piocher des bribes et d’y créer un sens. Le texte devient écran, chacun est libre de s’y projeter. Il est ensuite mis en situation dans différents contextes. Il titre ou il sous-titre, il appose un sens nouveau à des scènes qui peuvent en être dépourvues. Le jour ou la nuit, dans l’espace public ou privé, avec ou sans personne. Dans l’intimité d’une scène entre amis ou dans un lieu de rencontre entre inconnus. La vidéoprojection est utilisée, dans la continuité du travail plastique de Jumo. La dimension lyrique est conservée, seuls les médiums différent. Aujourd’hui Jumo va devoir s’exprimer non plus au travers d’images, mais de mots et de pensées.

 

Réalisation : Clément Leveau, Nicolas Plessis, Elliot Jolivet,

Luce Terrasson

Textes : Clément Leveau

Animation : Luce Terrasson