Passage(s)
Projections
Les Sabes d'Olonne ,2015
En octobre 2015, le collectif Cela lance une recherche sur le lien entre l’oeuvre et son environnement. Les murs de la ville des Sables d’Olonne, ceux d’une clinique désaffectée mais aussi la forêt et le bord de mer des environs deviennent des lieux d’expérimentations in situ à travers le collage, la vidéo projection, l'animation et la photographie. Le projet interroge plus particulièrement la manière dont l’image s’inscrit dans l’espace et comment chaque élément peut se nourrir l’un l’autre.
Grâce à une installation homemade sur des cosses de batteries et un groupe électrogène, un vidéoprojecteur a
pu être installé et déplacé en extérieur. Une nouvelle histoire des endroits visités se dessine à la lumière de la vidéoprojection de dessins et d’animations : formes et textures viennent interagir avec les éléments graphiques.
Techniques
Mouvements
Le projet tend à se réapproprier l’espace public par la projection d’images mais aussi de mots. Ces derniers interpellent et questionnent tout autant le lieu que les habitants qui le traversent.
Des protocoles sont mis en place pour capter ces phénomènes et percevoir tantôt le rapport de force, tantôt la synergie entre la lumière et la structure, l’image morcelée et les sites désertés. A travers ces différentes interactions, Passage(s) s’applique à créer de nouveaux ponts entre les disciplines.
L’exposition Passage(s) s’est déroulée du 15 avril au 6 mai 2016 à Trempolino, l’espace des musiques actuelles de Nantes.
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Le projet s’implique dans une réappropriation de l’espace public par la projection d’images et de mots. Dans ce dernier, ils interpellent et questionnent le lieu et ses habitants à mi-chemin entre a lumière, les lieux, les formes et les spectateurs.
Passage(s)
Projections
Les Sables d'Olonne, 2015
En octbre 2015, le collectif Cela lance une recherche sur le lien entre l’oeuvre et son environnement. Les murs de la ville des Sables d’Olonne, ceux d’une clinique désaffectée mais aussi la forêt et le bord de mer des environs deviennent des lieux d’expérimentations in situ à travers le collage, la vidéo projection, l'animation et la photographie. Le projet interroge plus particulièrement la manière dont l’image s’inscrit dans l’espace et comment chaque élément peut se nourrir l’un l’autre.
Grâce à une installation homemade sur des cosses de batteries et un groupe électrogène, un vidéoprojecteur a
pu être installé et déplacé en extérieur. Une nouvelle histoire des endroits visités se dessine à la lumière de la vidéoprojection de dessins et d’animations : formes et textures viennent interagir avec les éléments graphiques.
Le projet tend à se réapproprier l’espace public par la projection d’images mais aussi de mots. Ces derniers interpellent et questionnent tout autant le lieu que les habitants qui le traversent.
Des protocoles sont mis en place pour capter ces phénomènes et percevoir tantôt le rapport de force, tantôt la synergie entre la lumière et la structure, l’image morcelée et les sites désertés. A travers ces différentes interactions, Passage(s) s’applique à créer de nouveaux ponts entre les disciplines.
L’exposition Passage(s) s’est déroulée du 15 avril au 6 mai 2016 à Trempolino, l’espace des musiques actuelles de Nantes.
Techniques
Mouvements